Salut les amis,
Le 22 juin, tout le monde est revenu à l’école, enfin quasiment tout le monde.
Mais ça m’a fait un grand changement car je suis là depuis le début.
Je suis contente d’avoir revu tout le monde.
Je suis aussi triste, car nous, les CM2, allons passer en 6ème.
La classe a beaucoup changé. Mais ma reprise s’est bien passée !
Je pense que c’est bien car on peut se revoir avec les copains. Je suis heureux.
En plus, l’année prochaine, je vais au collège alors si je n’étais pas revenu, je n’aurai plus jamais pu revoir cette école…
Je me lève, je mange mon petit déjeuner, je vais à l’école…
Oui ça va bientôt faire une semaine que tout le monde est revenu à l’école !
J’invente… ils ne sont plus là, c’est la maîtresse qui les a mangés sous son apparence de monstre. Je vais vous expliquer : la maîtresse s’est fait contaminer par le monstre de la semaine dernière. Oh, tient, salut Colin, j’ai oublié de vous dire que lui était malade le jour où elle a mangé tout le monde. Et voilà, la maîtresse peut se transformer en « humaine » pendant trois heures, pas une minute de moins ni de plus.
Quand j’ai appris que l’école serait obligatoire, j’étais contente parce que je pouvais revoir tous mes amis. Le jour où je suis retournée à l’école je stressais un peu car je ne savais pas trop comment ça aller fonctionner, mais une fois que je suis arrivée, j’ai tout de suite compris les règles.
Il faut se laver les mains quand on arrive, quand on part, avant et après la récréation. Ça a fait bizarre de voir la classe avec les tables séparées ainsi, on avait des îlots avant, mais on s’y habitue !
Très contente de revoir tout le monde, même mes ennemies. C’est très bien à l’école. Je suis très heureuse de revoir la maîtresse, mes amies et ma meilleure amie.
La différence de 9 à 20 élèves c’est le bruit : imaginez le bruit avec 20 enfants. Levez le doigt avec 9 enfants, tu es seule c’est le jackpot , tu te fais interroger. Mais à 20, tu attends une heure…
Lorsque l’école a ré ouvert et que tout le monde est revenu ça faisait bizarre de voir tout le monde qui était en classe.
J’ai réussi à m’améliorer en maths ! C’était dur de comprendre plein de choses en même temps, mais j’ai réussi. Mais ce qui est nul, c’est que je ne peux pas voir mes amies qui sont dans l’autre classe, ça me déçoit vraiment…
Et voilà !
J’étais très content de retourner à l’école après 3 mois immobilisés à la maison.
Cela faisait très longtemps que je n’étais plus venu et ça faisait très bizarre quand je me suis préparé. La veille, je m’étais couché très tôt et ça aussi c’était bizarre car j’avais la flacheuse habitude de me coucher tard.
En allant à l’école, maman m’a accompagné pour voir comment c’était. Ce n’est que pour 2 semaines, même pas, ça ne valait pas la peine…
J’étais tout de même heureux de revoir les copains, les habitudes en classe changées ce qui rendait ça encore plus bizarre.
On a fait une flashmob pendant le temps où on était seulement 10 élèves et le chant « Coronaminus ». Je suis toute excitée de revoir toute la classe.
On a travaillé autrement et les maîtresses ne nous corrigeaient pas. On a eu une nouvelle maitresse le temps que Céline revienne le 15 juin. Elle s’appelle Maryline Buessler. Elle est repartie le 12 juin. Et on n’a pas rallongé les récréations. On les commence de 10h10 jusqu’à 10h20 et de 15h10 jusqu’à 15h20.
J’ai fait des exercices.
J’ai envie de revoir tout le monde le 22 juin.
J’aime bien travailler à l’école. J’étais tellement content de retourner à l’école.
On a le droit de se toucher en récréation à partir de lundi.
On a eu une petite panne d’horloge.
Nous avons revu Oscar et Bernard.
Nous avons revu nos amis.
Je suis impatient de revoir tous mes amis. J’ai travaillé à plus d’un mètre de mes copains. On a vu une flashmob.
Lundi il y a tout le monde qui revient et le dernier jour on dansera sur la flashmob.
Quand tout le monde reviendra on aura le droit de se toucher le 22 juin à la récréation. A la maison, on a dû travailler avec Internet et avec des sites.
On a eu une panne d’horloge et tout le monde n’avait pas ses affaires.
